Lorsqu'au Moyen Âge on jouait à la paume, le serveur avait coutume d'annoncer son envoi à l'adversaire en lui criant « Tenez ! ». En ancien français, l'impératif du verbe, tenir se prononçait « Tenèts ! ». Quand les Anglais empruntèrent le jeu de paume et sa terminologie, ils entendirent « Tenèts » « Tenis », d'où « tennis ».
Le tennis est une adaptation anglaise du jeu de paume. À la suite de la bataille d'Azincourt (1415), le duc d’Orléans est emprisonné pendant deux décennies en Angleterre. À l’occasion de cette captivité à Wingfield dans le comté de Norfolk, le duc introduit en Angleterre le jeu de paume qu’il pratique presque quotidiennement.
Les bois tombent et repoussent chaque année pour atteindre leur plein développement durant la période de rut. Ils jouent un rôle de caractère sexuel secondaire. Des récentes recherches, conduites par George and Peter Bubenik tendent à prouver qu'ils ont également une fonction d'amplification des sons. Dans un article publié au mois de mars 2008 dans le European Journal of Wildlife, ces chercheurs ont montré que les orignaux avec des bois avaient une bien meilleure audition que ceux qui en étaient dépourvus. Les bois agiraient comme une sorte d'antenne parabolique.
Du point de vue anatomique, les bois sont très différents des cornes : il s'agit d'organes osseux vascularisés et caducs, qui tombent et repoussent chaque année, et non de gaines cornées recouvrant une cheville osseuse. La croissance se déroule de façon continue sur un an. Au cours de leur croissance qui débute au printemps, les bois sont d'abord recouverts d'un tissu tégumentaire (le velours) qui assure la protection, la vascularisation et l'innervation de ces organes. Ce tissu se dessèche et tombe lorsque la croissance osseuse est achevée (vers la fin de l'été). Les bois, devenus un tissu mort, resteront à nu pendant toute la période de rut. Après la période de rut, à la fin de l'hiver, le bois se détache du crâne et son emplacement reste marqué par un pédicule jusqu'à la croissance des nouvelles pousses.
On appelle cors et andouillers les branches des bois de cervidés. Contrairement à une croyance répandue, le nombre de cors n'a pas de rapport direct avec l'âge de l'animal (puisqu'en effet, les bois tombent et repoussent chaque année).
Once upon a time, a girl with moonlight in her eyes, put her hand in mine and said she loved me so, but
that was once upon a time, very long ago ... - b&w