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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 19:00

...dans le ciel...

 

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...et sur la Terre...

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 20:04

...électricité à tous les étages...

 

                                                                                             ...l'avant...

 

 

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                                                                         ...le milieu...

 

...et l'arrière.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 00:29

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 23:41

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 15:30

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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 15:24

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 23:27

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 23:23

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 00:13

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Antoine (de son vrai nom Pierre Antoine Muraccioli), né le 4 juin 1944 à Tamatave (Madagascar), est un chanteur et auteur compositeur français.

Élève-ingénieur de Centrale Paris (il obtiendra le diplôme en 1966), un chagrin d'amour auprès de la soeur d'un élève de l'Ecole Centrale l'amène à la chanson et il connaît un succès d'estime avec sa chanson Autoroute européenne numéro 4, enregistrée en octobre 1965. Il passe à la télévision pour la première fois le soir de l'élection présidentielle de novembre 1965 puis rencontre un succès énorme en 1966 avec les Élucubrations d'Antoine, pourtant lancées contre l'avis de son producteur Christian Fechner et de toute l'équipe des disques Vogue. Maurice Chevalier déclare alors : « Jamais un artiste n'a atteint aussi vite le sommet du succès », propos qui seront repris par la version européenne du magazine Time. Il est alors accompagné par « les Problèmes » qui deviendront plus tard « les Charlots ».

"Les elucubrations" est propulsé par son texte polemique, et surtout par ses allusions desobligeantes à Johnny Hallyday, qui, plus ou moins piqué, lui répond avec "Cheveux longs et idées courtes".

Juliette Gréco cite à son sujet Boris Vian, également ancien élève de Centrale.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 23:49
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Rien ne sert de courir; il faut partir à point :
Le lièvre et la tortue en sont un témoignage.
«Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point
Sitôt que moi ce but. - Sitôt? Êtes-vous sage ?
            Repartit l'animal léger :
            Ma commère, il vous faut purger
            Avec quatre grains d'ellébore.)
            - Sage ou non, je parie encore."
            Ainsi fut fait; et de tous deux
            On mit près du but les enjeux :
            Savoir quoi, ce n'est pas l'affaire,
            Ni de quel juge l'on convint.
Notre lièvre n'avait que quatre pas à faire,
J'entends de ceux qu'il fait lorsque, prêt d'être atteint,
Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux calendes,
            Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
            Pour dormir et pour écouter
        D'où vient le vent, il laisse la tortue
            Aller son train de sénateur.
            Elle part, elle s'évertue,
            Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
            Tient la gageure à peu de gloire,
            Croit qu'il y a de son honneur
        De partir tard. Il broute, il se repose,
            Il s'amuse à toute autre chose
        Qu'à la gageure. A la fin, quand il vit
Que l'autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait; mais les élans qu'il fit
Furent vains : la tortue arriva la première.
"Eh bien! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
            De quoi vous sert votre vitesse ?
            Moi l'emporter! et que serait-ce
            Si vous portiez une maison ?"

 

Le Lièvre et la Tortue (The Tortoise and the Hare en VO) est un court métrage d'animation américain de la série des Silly Symphonies réalisé par Wilfred Jackson, produit par Walt Disney, pour United Artists, sorti le 5 janvier 1935. Le film se base sur la fable Le Lièvre et la Tortue de Jean de La Fontaine.

Les animaux se rassemblent pour assister à la course entre le lièvre Max Hare et la tortue Toby Tortoise. Le lièvre profite de sa vitesse naturelle pour devancer la tortue. En chemin, il ne résiste à s'arrêter devant l'école de Miss Cottonmail pour faire la cour à deux pupilles et ainsi qu'une démonstration de ses aptitudes. Après des exercices de baseball et de tennis en solitaire, et ayant oublié sa course contre la tortue, il découvre à la dernière minute que Toby est proche de la ligne d'arrivée. Ce dernier acclamé par la foule, gagne la course.

En raison de sa sortie le 31 décembre 1934 à Los Angeles, le film est parfois indiqué comme sorti en 1934.

En tant qu'assistant d'Hamilton Luske, Ward Kimball est reconnu comme le premier animateur de Disney à avoir utiliser les "lignes de vitesse" lors de l'animation du personnage de Max Hare.

Ce film a donné lien à une suite Le Retour de Toby la tortue (1936). Une version plus éducative a été intitulée Aesop's Hare and the Tortoise.

D'après Russel Merritt et JB Kaufman, la séquence de la démonstration de Tennis par Max Hare réalisée par Hamilton Luske a été réutilisée dans le court métrage de Donald Duck, Champion de hockey (1939).

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