Le terme « tomate » vient de l'espagnol tomate, lui-même emprunté au nahuatl (langue de la famille uso-aztèque) tomatl qui désignait le fruit de la tomatille (Physalis ixocarpa). En revanche le mot nahuatl xictomatl (espagnol mexicain : jitomate) désigne la tomate (Lycopersicon esculentum)[1],[2]. La première attestation de « tomate » en français date de 1598 dans la traduction de l'ouvrage de José de Acosta, Historia natural y moral de las Indias, par Robert Regnault[3]. « Tomate » n'est entré dans le dictionnaire de l'Académie française qu'en 1835, le fruit s'est longtemps appelée « pomme d'amour » ou « pomme d'or ».
Le nom de la tomate figure dans les « mots sans frontières » recensés par Sergio Corrêa da Costa[4]. On le retrouve en effet dans de nombreuses langues avec de faibles variations phonétiques et orthographiques. On a ainsi dans les langues européennes : tomato en anglais, tomate en allemand, espagnol, français et portugais, tomat en danois, norvégien, suédois et estonien, tomaat en néerlandais, à l'exception notable de l'italien pomodoro[5].
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Vivaldi a 46 ans lorsque son Il Cimento dell’armonia et dell’invenzione (Confrontation de l’harmonie et de l’invention. On sait que la composition de ces concertos est de plusieurs années antérieure à leur parution) paraît à Amsterdam (chez Michel-Charles Le Cène, successeur d’Estienne Roger, célèbre éditeur de musique). Ce recueil de 12 concertos, dont les quatre premiers sont Les Quatre Saisons, n’est pas son premier : le très important recueil L’Estro Armonico (son premier recueil de concertos, ses premières œuvres à être éditées chez l’important éditeur d’Amsterdam Estienne Roger. Il comporte, entre autres, des concertos de soliste, grande nouveauté pour l’époque) l’avait précédé de 13 ans.
Les Quatre Saisons sont écrits pour violon et orchestre (un orchestre de chambre - soit une douzaine de musiciens - comportant des cordes et le continuo. On appelle « continuo » l’accompagnement que l’on pratique à l’époque, avec un clavier et un instrument à archet grave). C’est une musique écrite d’après un texte (quatre sonnets, un par saison) attribué au compositeur lui-même, et qui comporte de nombreuses imitations (cris d’oiseaux, aboiements…). Chaque vers est identifié par une lettre (A, B, C...) afin que l'on puisse juger de l'effet en suivant la partition.
Le troisième mouvement du concerto l'Été représente le déferlement de l'orage (Ah che purtroppo...). Son tempo très vif (presto) donne une image particulièrement saisissante de la violence des éléments.
L'orchestre au complet (quelques instrumentistes seulement, rappelons-le) alterne avec le soliste, seul ou accompagné de la basse continue (l'accompagnement typique de l'époque baroque, constituée d'un instrument à archet grave (violoncelle ou viole de gambe) et un clavier (orgue "positif" ou clavecin)), imitant ainsi l'alternance des grondements de l'orage et des moments de répit.
L'atmosphère oppressante de l'orage est rendue par les répétitions obstinées et très rapides de notes, tandis que sa violence se traduit par les traits virtuoses tantôt descendants, tantôt ascendants.
Once upon a time, a girl with moonlight in her eyes, put her hand in mine and said she loved me so, but
that was once upon a time, very long ago ... - b&w
"S'instruire pour vaincre"
Napoléon
"SAUVER OU PERIR" Sapeurs-Pompiers.